Et donc, à ce premier filtre bayésien qu'ils utilisent depuis longtemps (suis un peu, jeune lecteur, je parle du spam, là) ils en ont ajouté un second pour savoir si le mail t'intéresse ou pas. Et je dois dire que, dès l'initialisation, ça marche vachement bien (heureusement d'ailleurs que ma boîte contient déja quelques centaines de mega - GMail me sussure d'ailleurs le chiffre de 367 MB - pour initialiser l'aglorithme). Ca marche tellement bien d'ailleurs que ça m'a permis de mettre en oeuvre la fameuse technique du Inbox zero (enfin presque, j'ai actuellement 5 mails dans ma boîte aux lettres). Mais quel est le rapport entre les deux, me diras-tu, toi, lecteur avide de sensations fortes ? Eh bien c'est simple : comme GMail découpe ma boîte aux lettres en deux, avec une partie importante et une autre moins, c'est quand même facile de savoir à quels mails je vais répondre et quels sont ceux qui vont passer dans la pile "archive", voire dans la pile "poubelle". Du coup, je gagne plein de temps que je peux consacrer à la réalisation d'objectifs autrement plus ambitieux.